Jacqueline HEQUET

Cher Monsieur Hequet,
J’arrive de la messe mensuelle à Creisker où j’ai appris avec une grande tristesse le décès de votre chère épouse.
Je me souviens de beaux moments passés avec vous deux, en particulier ce repas de fête où nous étions tout près des musiciens avec vous deux, maman et ma sœur Annie.
Je serai heureuse d’aller prier avec vous lundi matin à saint Sébastien.
Je devine combien votre épouse va vous manquer et je vous souhaite un grand courage.
Avec la fête de la Toussaint, nous sommes unis avec tous ceux qui sont dans la joie de Dieu.
Avec toute mon amitié
Yvette Chauty

Hommage à Jacqueline

Nous gardons de Jacqueline le souvenir d’une femme lumineuse, intelligente et pleine d’humour.
Professeure de lettres passionnée, elle partageait avec Jean-Claude une vie à la fois simple et riche, entre Aubervilliers, Mur-de-Bretagne, les voyages et les moments entre amis.

Ils aimaient venir à Mur de Bretagne, profiter de la maison d’Élisabeth, faire des balades à vélo, jouer au tennis, ou encore passer du temps à La Baule, puis à Pornichet, où ils ont construit leur maison au bord de la mer.
Ils formaient un couple complice, curieux du monde, aimant lire, découvrir, aller au théâtre ou voir des spectacles.

Jacqueline avait ce talent rare : un humour fin, un regard décalé sur les choses, qui apportait toujours une touche de légèreté et de bienveillance.

Avec un mot juste, un sourire ou une remarque pleine d’esprit, elle savait apaiser, faire sourire, et offrir une autre façon de voir les choses.

C’était une femme ouverte, attentive, bienveillante, qui aimait la nature, la mer, les couchers de soleil et la simplicité des moments partagés.

Les dernières années ont été difficiles, marquées par la maladie, qui l’avait peu à peu privée de parole et de mouvement. Aujourd’hui, nous voulons croire qu’elle est enfin libérée, apaisée.

Quelles que soient nos croyances, nous pouvons tous souhaiter qu’elle repose dans la paix, la lumière et la sérénité.

Catherine Jacques et leurs enfants



2éme texte proposé

Moment de partage pour Jacqueline

Nous gardons de Jacqueline le souvenir d’une lumière douce,
d’un éclat pétillant et d’un regard intelligent,
et de son rire discret, complice.

Avec Jean-Claude, ils formaient un très beau couple,
accueillants, généreux.

Nous nous souvenons des repas à Trégnanton,
des côtes de bœuf partagées lors de repas dans la bonne humeur,
des jolies promenades dans la forêt de Caurel à l’automne,
et des cueillettes de champignons que l'on dégustait ensemble.

Nous nous souvenons aussi des week-ends à Pornichet,
de leur accueil chaleureux chez eux, dans la simplicité,
du plaisir d’être ensemble,
et de leur humour bienveillant.

Jacqueline vivait avec élégance et justesse.

Professeure de lettres,
elle avait le don de faire sonner les mots,
de manier les calembours et l’humour subtil,
toujours avec délicatesse et richesse,
comme au golf avec adresse et légèreté.

Aujourd’hui, nous sommes tristes,
cet adieu est aussi plein de reconnaissance.
Les souvenirs ne s’effacent pas :
ils demeurent au fond du cœur.

Quand un rayon de soleil éclaire la nature,
qu’une fleur s’épanouit,
ou un coucher de soleil embrasse le ciel d'été,
nous pensons à Jacqueline.

Merci, Jacqueline, pour ces moments simples et vrais.
Ils resteront avec nous, pour longtemps.
----------------------------------------------------
Cher Jean - Claude
Nous t'accompagnons dans ce moment douloureux. Ton dévouement et ton amour pour Jacqueline ont été un exemple de force et de fidélité. Maintenant, il te revient de tourner doucement ton attention vers toi, vers ta santé, vers la vie qui continue autour de toi. Nous t’accompagnons en pensée et de cœur, avec tendresse et respect. Bises famille Cernay

Hommage à Jacqueline

Nous gardons de Jacqueline le souvenir d’une femme lumineuse, intelligente et pleine d’humour.
Professeure de lettres passionnée, elle partageait avec Jean-Claude une vie à la fois simple et riche, entre Aubervilliers, Mur-de-Bretagne, les voyages et les moments entre amis.

Ils aimaient venir à Mur de Bretagne, profiter de la maison d’Élisabeth, faire des balades à vélo, jouer au tennis, ou encore passer du temps à La Baule, puis à Pornichet, où ils ont construit leur maison au bord de la mer.
Ils formaient un couple complice, curieux du monde, aimant lire, découvrir, aller au théâtre ou voir des spectacles.

Jacqueline avait ce talent rare : un humour fin, un regard décalé sur les choses, qui apportait toujours une touche de légèreté et de bienveillance.

Avec un mot juste, un sourire ou une remarque pleine d’esprit, elle savait apaiser, faire sourire, et offrir une autre façon de voir les choses.

C’était une femme ouverte, attentive, bienveillante, qui aimait la nature, la mer, les couchers de soleil et la simplicité des moments partagés.

Les dernières années ont été difficiles, marquées par la maladie, qui l’avait peu à peu privée de parole et de mouvement. Aujourd’hui, nous voulons croire qu’elle est enfin libérée, apaisée.

Quelles que soient nos croyances, nous pouvons tous souhaiter qu’elle repose dans la paix, la lumière et la sérénité.

Catherine Jacques et leurs enfants



2éme texte proposé

Moment de partage pour Jacqueline

Nous gardons de Jacqueline le souvenir d’une lumière douce,
d’un éclat pétillant et d’un regard intelligent,
et de son rire discret, complice.

Avec Jean-Claude, ils formaient un très beau couple,
accueillants, généreux.

Nous nous souvenons des repas à Trégnanton,
des côtes de bœuf partagées lors de repas dans la bonne humeur,
des jolies promenades dans la forêt de Caurel à l’automne,
et des cueillettes de champignons que l'on dégustait ensemble.

Nous nous souvenons aussi des week-ends à Pornichet,
de leur accueil chaleureux chez eux, dans la simplicité,
du plaisir d’être ensemble,
et de leur humour bienveillant.

Jacqueline vivait avec élégance et justesse.

Professeure de lettres,
elle avait le don de faire sonner les mots,
de manier les calembours et l’humour subtil,
toujours avec délicatesse et richesse,
comme au golf avec adresse et légèreté.

Aujourd’hui, nous sommes tristes,
cet adieu est aussi plein de reconnaissance.
Les souvenirs ne s’effacent pas :
ils demeurent au fond du cœur.

Quand un rayon de soleil éclaire la nature,
qu’une fleur s’épanouit,
ou un coucher de soleil embrasse le ciel d'été,
nous pensons à Jacqueline.

Merci, Jacqueline, pour ces moments simples et vrais.
Ils resteront avec nous, pour longtemps.
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Cher Jean - Claude
Nous t'accompagnons dans ce moment douloureux. Ton dévouement et ton amour pour Jacqueline ont été un exemple de force et de fidélité. Maintenant, il te revient de tourner doucement ton attention vers toi, vers ta santé, vers la vie qui continue autour de toi. Nous t’accompagnons en pensée et de cœur, avec tendresse et respect. Bises famille Cernay